Peugeot, avec l'apparition des 208 et 308 est arrivé à une limite, celle de la nomination de ses modèles. Le constructeur de Sochaux avait déposé l'exclusivité sur les noms de voitures composés de trois chiffres avec un zero au centre. Ce fut d'ailleurs l'origine du nom de la Porsche 911, au lieu de 901 comme le voulait Ferdinand Porsche.
Or, de 1985 à 1993, il y eu la Peugeot 309 (voiture qui me transportait quand j'étais bébé, nostalgie). Ne pouvant pas utiliser le nom 309 pour la remplaçante de la 308, la décision a été prise.
Tous les nouveaux modèles conserveront la terminaison en "08". Les remplaçantes des 308 et 208 s'appelleront donc respectivement 308 et 208.
Et Peugeot créera même une nouvelle terminaison en "01" pour les pays émergeant, avec comme première représentante, la 301.
A noter, pour être complet, que Peugeot utilise les noms à quatre chiffres pour les modèles SUV et crossover (ex: 4008, 5008).
Le premier chiffre continue d'indiquer le catégorie du véhicule (hormis pour les iOn, RCZ et Partner):
Audi R18 e-tron Quattro hybride (Kers Williams F1)
Audi a brillamment gagné l'édition des 24H du Mans 2012 en plaçant ses 4 voitures aux 1ère, 2ème, 3ème et 5ème places. Les deux premières étant des R18 E-tron Quattro, c'est à dire des voitures hybrides. Ceci fait d'Audi, le premier constructeur à faire gagner une voiture hybride au Mans, et plus généralement en course d'endurance. A noter: Toyota faisait son grand retour avec deux voitures hybrides aussi, qui n'ont malheureusement pas réussi à finir la course (accident et panne) alors qu'une a pris la première place pendant 3 tours.
La propulsion hybride vient de chez Williams F1 et non d'Audi
Mais presque tous les médias oublient un aspect important. Ils disent que la technologie hybride d'Audi a gagné. C'est en grande partie faux, car le système hybride est en fait le système Kers de Williams F1. En effet, le constructeur allemand a acheté le système à l'équipe de formule 1.
A l'inverse Toyota lui, a développé son système hybride en interne.
L'information est passée un peu à la trappe avec cette actualité chargée, mais Saab a finalement trouvé un repreneur alors que sa disparition semblait définitivement actée suite à sa faillite. Si vous souhaitez revoir les très nombreux rebondissements de ses 3 dernières années, je vous invite à lire mes précédents articles sur Saab en cliquant ici.
La surprise est venue cette semaine, le 13 juin, quand l'administrateur judiciaire de Saab a annoncé qu'un repreneur a signé un accord de rachat des actifs du constructeur suédois.
Saab sera donc repris par le groupe National Electric Vehicule Sweden (NEVS). Ce groupe est dirigé par un homme d'affaires suédo-chinois. Le capital est détenu à 51% par National Modern Energy Holdings basé à Hong Kong et à 49% par Sun Investment, une société d'investissement japonaise.
Le but de NEVS n'est pas en soit de ressusciter Saab, mais de produire des voitures électriques dans les installations du défunt constructeur, dont l'usine de Trollhättan. Le premier modèle devrait se baser sur la Saab 9-3 et visera le marché chinois. A ce propos, General Motors (GM) interdit toujours l'utilisation des brevets concernant la 9-5 qui partage sa plate-forme avec des modèles américains et l'Opel Insignia.
Enfin, tout n'est pas réglé car les actifs de Saab ne couvrent qu'un tiers de sa dette. Espérons que ce nouveau sauvetage ne subira pas le même sort que celui de Spyker, qui amena le constructeur néerlandais lui même à éviter la faillite en changeant de propriétaire.
Vous me connaissez, je suis un grand amateur de smartphones puisque j'ai des terminaux sous Symbian (Nokia E63, Nokia N97 Mini), Palm WebOS (HP Pre 3), WP7 (LG Optimus 7) et Android (HTC Wildfire, Motorola Defy+, Sony Ericsson Xperia Play).
Très déçu par la politique de mise à jour de Sony sur le Xperia Play (voir mon article précédent), j'ai finalement succombé en prenant le Samsung Galaxy Note du fait de la taille de son écran, de sa puissance et de sa très bonne autonomie. L'utilisation de Google Navigation en voiture sur son écran, est un régal.
N°1 Menu principal
Mais voilà, très satisfait de mon utilisation du seul téléphone-tablette du marché, il restait un très grand point noir : il était toujours sous Android 2.3.6, mieux connu sous le nom de Gingerbread. Et pour être honnête, le temps commençait à devenir long, puisque dans presque tous les autres pays, il avait reçu la nouvelle version d'Android.
Et hier matin, vers 9h00, oh miracle je vois une notification de disponibilité d'Android 4.0.3 alias Ice Cream Sandwich ou ICS.
Comment installer ICS sur le Galaxy Note?
Il y a deux façons d'installer ICS:
- La première est de passer par l'ordinateur en le reliant au Galaxy Note pas cable USB (celui du chargeur) et de suivre les indications du logiciel Kies qu'il faut installer.
- La seconde est de faire la mise à jour directement sur téléphone (méthode OTA) en cliquant sur Menu > Parametres > A propos du téléphone >Mise à jour logicielle.
Personnellement, j'ai suivi la méthode OTA, mais le fichier pesant 320 mo, j'ai fait le téléchargement par WiFi. Cela a pris 12 minutes, auxquelles il faut ajouter 10 minutes pour l'installation, le redémarrage et le reparamétrage automatique. Et oui c'est là que la mise à jour de Samsung fait mouche, toutes les applications déjà téléchargées se mettent à jour automatiquement et tout se fait sans perte de données, ni de paramétrages (mots de passe, choix de sonneries, contacts, préférences, ...). Le téléphone est réutilisable tout de suite.
N°2 Menu principal 2
Mon test de ICS sur le Galaxy Note
Après une journée complète d'utilisation (env 25h), je peux vous donner mes premières impressions.
Alors c'est très simple, je m'attendais à une grosse refonte graphique, et bien, ce n'est pas le cas. Pour commencer la surcouche maison de Samsung, Touchwiz, est inchangée (photos n°1 et 2). Seule l'interface du menu gestion de tâches change réellement (photo n°5). Je continue donc à préférer celles de HTC (Sense) et de Sony. Par contre, concernant les menus spécifiques d'Android, s'ils restent les mêmes leur agencement a changé, et se trouvent à mon goût plus logiques et simples d'utilisation (photos n°3 et 4).
Un grand point fort, que j'attendais depuis longtemps sous Android, la présence dans la barre de notification d'un indicateur de % de batterie restante. C'est réellement un manque que je trouvais inadmissible, c'est enfin réglé et apporte un réel confort. (en haut à droite sur les photos)
Niveau performances, je n'ai pas noté de différences, en mieux ou en moins, bien, concernant l'autonomie et la fluidité de navigation.
L'apparition de S Note, un Siri Like mais manuscrit:
Il y a également l'apparition de la Premium suite qui permet d'étendre les possibilité de la fonction S-pen (calcul direct au stylet, annotation des video, ...). Je vient de la tester et c'est BLUFFANT. S Note permet avec son stylet de faire plusieurs choses. A la manière de Siri sur iPhone, S Note peut répondre à des questions manuscrites (ex: la plus haute montagne du monde) ou des calculs manuscrits. (Photos 7 à 10). Il peut également créer automatiquement des formes géometriques parfaites à partir de dessins au stylet.
NB: Ces photos sont des captures d'écran réalisées directement sur mon Galaxy Note avec la manipulation touche centrale + Touche marche/arrêt. Les fonds d'écran ne sont ni ceux de Samsung ni de Google, donc pas la peine de les chercher, ce sont des photos prises par moi-même lors d'un voyage à San Francisco.
C'est avec 3 jours de retard, que j'apprends que Sony (anciennement Sony Ericsson) a annoncé l'annulation de la mise à jour vers Android 4 sur l'Xperia Play.
En effet, le constructeur japonais promettait la mise à jour vers ICS sur tout sa gamme Xperia de 2011 et 2012 (Arc, Arc S, Kyno, Play, ...) avant le début de l'été 2012. Et à partir de cette date, tout a commencé à aller mal. Ainsi, il y a eu de multiples reports, pour finalement aboutir à cette décision concernant le Xperia Play.
J'ai par ailleurs du mal à comprendre les explications annoncées par Sony, vu que le Xperia Arc qui dispose de cette MAJ a les mêmes spécifications (processeur, circuit graphique, mémoire vive, ...).
J'ai donc peur que Sony retombe dans ses travers, qui lui ont porté préjudice par le passé (formats propriétaires façon Memory Stick, annonces et promesses non suivies d'effet, ...). Sur le marché utlra concurrentiel Android avec des acteurs puissants (Samsung, LG, HTC, Motorola qui appartient à Google, Huawei qui vient d'arriver, ...), ce genre de déception pour le consommateur pourrait avoir des répercussions lourdes.
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